Blague a part en music hall mandigue Tu vois bien que je suis completement dingue Sur ta banquise, moi, petit glacon J'ai sciemment scie mon cercle en rond Si je fus polaire, pour mieux te plaire Je fus bien amere, douce coere, Quand notre tendre affinite A fondu comme neige en ete
Un soir d'hiver, un heure de java Tu as commis le premier faux pas En demandant ma main, je crois T'avoir dit qu'on ne m'aurait pas!"
Baguee, baguee, baguee... Oh la la Baguee, baguee, baguee... Et mon doigt Baguee, baguee, baguee... En jamais Baguee, baguee, baguee... Oh la la
Si je suis nee dans un petit bouquet Rose etant la couleur de mon bracelet Au sexe faible, apparantee Par l'image du pigeon voyageur Qui toujours retourne a l'envoyeur En amour, rien ne vaut le danger La fidelite en liberte
Un soir d'hiver, un heure de java Tu as commis, tu n't'en doutais pas Un impair mais depuis, je crois Savoir que tu ne m'aurais pas
Baguee, baguee, baguee... Oh la la Baguee, baguee, baguee... Et mon doigt Baguee, baguee, baguee... En jamais Baguee, baguee, baguee... Oh la la
Un soir d'hiver, un heure de java Tu as commis le premier faux pas Mais maintenant, je sais tres bien Que nous n'aurons jamais nos mains
Baguee, baguee, baguee... Oh la la Baguee, baguee, baguee... Et mon doigt Baguee, baguee, baguee... En jamais Baguee, baguee, baguee... Oh la la
Je me mefie de l'eau qui dort Je me defie des bras qui, forts, M'en tombent Langoureusement Amoureuse De tous ces cas d'especes Je me suis bien amusee De tout, j'ai bien profite De bal en mal Si souvent emballee Pour un rien, je sais…
Je ne sais ou je veux bien aller Si je suis mouton dans un pre carre Ou bien megot sous un talon d'acier Je ne sais, je ne sais qui fumer
Je me suis mefiee des amnesiques Dans le cirque des annees "Tabouret" Lumieres en poursuite Sur les coeurs Les flonflons amateurs Je me suis bien amusee De tout ai-je bien profite ? D'envies Souvent si naives En pre sentiments Qui maintenant, me suivent…
Je ne sais ou je veux bien aller Si je suis mouton dans un pre carre Ou bien megot sous un talon d'acier Je ne sais, je ne sais qui fumer
Songez, si le hasard S´etait mis a table pour ma fete Et mis en tete, tard De m´imaginer fourchette En pique-assiette Aurais-je ma chanson ? Pour ces piquants Rudimentairement alimentaires Ne distillant Peu de parfum litteraire Alors, aurais-je droit ma chanson ?
{Refrain:} Aerien, je suis aerien Les aleas de la vie me menent a... Aerien, je suis aerien Je vole et toi Tu n´es la que pour mon bien
Songez, si le sort Avait decide, sans mon accord De me mettre a mal Changeant les cellules de mon corps En eau minerale Aurais-je ma chanson ? Si tranparent Bien dose dans du verre en cristal Calme apparent Sans maree, ni sel, ni mistral Aurais-je droit a ma chanson ?
Et si le destin Voulait m´eviter d´autres deboires Il me laisserait un coin Ou coucher notre histoire Sur l'air, de rien, d´une chanson
{au Refrain}
Aerien, je suis aerien Je vole et toi Tu n´es la que pour mon bien
Donnez-moi des grands vins Et je monterai ma cave Sur un tapis de gains Que je me fais sur les "caves" Roulant dans la farine Piliers d´usines Je ruine les gagne-petits En bouffant de l´economie
{Refrain:} Les salaires de labeur Ne sont plus du tout a l´honneur, non non Le must, c´est les affaires Et qui j´vais bien pouvoir me faire ?
Pendant que l´ouvrier, lui Joue ses galons En trente-cinq heures, moi J´ai brasse des millions Sape comme un baron de la Republique C´est evident que je souffre De "forte improbite" chronique
{au Refrain}
Je suis le protege des instituitions Qui m´eviteront d´aller Trainer mon costard en zonzon Serpent aux mille sornettes Mon coeur est froid mais ma tete Bien droite sur mes epaulettes
{au Refrain}
Donnez-moi des grands vins et Donnez-moi votre main, oui Donnez-moi un coup de main Je vous le rendrai demain
Le silence est le meme Dans toutes les langues, le meme Des mots qui l'on ne seme pas Partout ou le silence est roi
Qu'on soit bouche bee ou bien bouche close On est dans ce monde, si peu de chose Bouche a nourrir ou mieux bouche a miel Bouche a bouche, ca c'est l'essentiel
Alors, tres fort Ou mieux, tout bas Mon reconfort Etendre l'eclat de ta voix
Le silence est le meme Dans toutes les langues, le meme Des mots qui l'on ne seme pas Partout ou le silence est roi
Durant trois minutes ou toute un vie Quand on ne me dit pas, on m'a rien dit Ne comptons pas sur l'extra-lucide Pour lire dans nos pensees invisibles
Si l'œil est nu L'oreille pointue Vient se pencher Sur la bouche de l'etre adore
Le silence est le meme Dans toutes les langues, le meme Des mots qui l'on ne seme pas Partout ou le silence est roi
De marbre rose quand il est en veine Si le silence s'impose, c'est careme Plus d'idees noires mais plus d'ideaux Sur tous nos espoirs, on fait rideau
Muets de stupeur Muets par humeur N'ayons pas peur Des mots, ne les machons pas trop
Les mots, ca s'avale tout de go Comme des huitres ou bien des escargots Ca se gobe, ca transite, ca se perd C'est des pensees, ca se digere
Le silence est le meme Dans toutes les langues, le meme Des mots qui l'on ne seme pas Partout ou le silence est roi
Donnez-moi des grands vins Et je monterai ma cave Sur un tapis de gains Que je me fais sur les "caves" Roulant dans la farine Piliers d´usines Je ruine les gagne-petits En bouffant de l´economie
{Refrain:} Les salaires de labeur Ne sont plus du tout a l´honneur, non non Le must, c´est les affaires Et qui j´vais bien pouvoir me faire ?
Pendant que l´ouvrier, lui Joue ses galons En trente-cinq heures, moi J´ai brasse des millions Sape comme un baron de la Republique C´est evident que je souffre De "forte improbite" chronique
{au Refrain}
Je suis le protege des instituitions Qui m´eviteront d´aller Trainer mon costard en zonzon Serpent aux mille sornettes Mon coeur est froid mais ma tete Bien droite sur mes epaulettes
{au Refrain}
Donnez-moi des grands vins et Donnez-moi votre main, oui Donnez-moi un coup de main Je vous le rendrai demain
Son cabas sous le bras, en pleine nonchalance Un peintre en batiment de moyenne importance En ce jour de conge, traine son anatomie Un sourrie iradiant sa tete de lundi
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Une fois bien maquille sa tete de mardi L'ovreuse de cinema ressasse les images Qui se sont projetees dessus son blanc corsage Esperant, pour demain, du neuf, de l'inedit
Aujourd'hui Mercredi, demain Jeudi, c'est bath! Tous les gens que je croise ont la tete adequate Tetes blondes, tetes brunes si bien galvanisees Jour apres jour, au rythme des caledrivers
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Ce matin je velt ma tete des dimanches Journees emblematiques ou la semaine calanche Dans une iterminable fin d'apres midi J'attends impatiment ma tete de lundi
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Dans ce vaste monde eclectique et unique Nous voyageons, cathodique Croisieres sur canaux hertziens ou satellites Nous admirons tant les Inuits Pays australs, Karabah Et pourquoi pas, Patalipoutra Imaginer Pondichery peuple De deux cent quatre mille etres aimes
Je tourne en rond dans ma carree Comme un poisson dans un meuble
N'espere pas pour autant que l'on se ressemble Ni qu'on roule sur les memes essieux Bien que nous allions surement passer ensemble Nos vies jusqu'a devenir vieux En resume mes amis, on vit tous sur le meme pave Statistiques ou denombres, au kilometre carre
Je tourne en rond dans ma carree Comme un poisson dans un meuble
Sur terre, ce petit paquet de kilometres Qui nous separe et nous unit Nous vivons la vie d'autre gens en direct Artificiels au paradis Terriens, on n'est pas tous egaux Fretins, on nous mene tous sur meme bateau
Je tourne en rond dans ma carree Comme un poisson dans un meuble
Ton etoile, pale Deja, Palit encore et encore Durant le jour Jusqu'a n'etre plus rien
Les yeux vacants, alors a tout autre chose Mon esprit s'attache et pendant la nuit Sans y preter attention tu reapparais Sur ma ligne d'horizon et j'en suis sideree
Ton etoile, pale Deja, Palit encore et encore Durant le jour Jusqu'a n'etre plus rien
De ce petit jeu, je ne me lasse pas Et je n'entends pas les voix des mauvais devins Chants du coq et reveille-matin n'altereront pas La brillante image que je garde toi
Ton etoile, pale Deja, Palit encore et encore Durant le jour Jusqu'a n'etre plus rien
Il est parti en voyage L'homme de tous les instants en bagages Car c'est un grand baladeur de bitume D'une espece peu commune
C'est un touriste admirable Certes curiex mais toujours tres affable Il est fort bien equipe Car chez lui, tout est jetable
Il s'en va souvent Il s'egare aussi Dans sa vie, pas tres Zanzibar, sans envie de Patagonie
Des plaines, des blonds deserts, des recifs Des mers, des estuaries, des glaciers Attention, c'est un touriste Qui en a vu, des ses yeux, vu des paysages Etonnant, car lui n'a jamais plie bagages
Lorsque la pluie se dechaine Lui, sous le soleil, traverse une plaine Calme etendue sauvageonne Car pour l'heure, il n'y voit personne
Il voyage En solo Dans sa vie, pas tres Zanzibar, sans envie de Patagonie
Vers ces plaines, ces blonds deserts, ces recifs Ces mers, ces estuaries, ces glaciers A jamais, c'est un touriste Qui en a vu, des ses yeux, vu des paysages Etonnant, car lui n'a jamais plie bagages
Mais en son for interieur L'ennui l'attend pour y fonder sa demeure Lui parasiter ses cartes routieres Effacer ses arrieres Qu'il se perde, c'est vrai Qu'il s'y retrouve aussi Dans sa vie, pas tres Zanzibar, sans envie de Patagonie
Blague a part en music hall mandigue Tu vois bien que je suis completement dingue Sur ta banquise, moi, petit glacon J'ai sciemment scie mon cercle en rond Si je fus polaire, pour mieux te plaire Je fus bien amere, douce coere, Quand notre tendre affinite A fondu comme neige en ete
Un soir d'hiver, un heure de java Tu as commis le premier faux pas En demandant ma main, je crois T'avoir dit qu'on ne m'aurait pas!"
Baguee, baguee, baguee... Oh la la Baguee, baguee, baguee... Et mon doigt Baguee, baguee, baguee... En jamais Baguee, baguee, baguee... Oh la la
Si je suis nee dans un petit bouquet Rose etant la couleur de mon bracelet Au sexe faible, apparantee Par l'image du pigeon voyageur Qui toujours retourne a l'envoyeur En amour, rien ne vaut le danger La fidelite en liberte
Un soir d'hiver, un heure de java Tu as commis, tu n't'en doutais pas Un impair mais depuis, je crois Savoir que tu ne m'aurais pas
Baguee, baguee, baguee... Oh la la Baguee, baguee, baguee... Et mon doigt Baguee, baguee, baguee... En jamais Baguee, baguee, baguee... Oh la la
Un soir d'hiver, un heure de java Tu as commis le premier faux pas Mais maintenant, je sais tres bien Que nous n'aurons jamais nos mains
Baguee, baguee, baguee... Oh la la Baguee, baguee, baguee... Et mon doigt Baguee, baguee, baguee... En jamais Baguee, baguee, baguee... Oh la la
Le silence est le meme Dans toutes les langues, le meme Des mots qui l'on ne seme pas Partout ou le silence est roi
Qu'on soit bouche bee ou bien bouche close On est dans ce monde, si peu de chose Bouche a nourrir ou mieux bouche a miel Bouche a bouche, ca c'est l'essentiel
Alors, tres fort Ou mieux, tout bas Mon reconfort Etendre l'eclat de ta voix
Le silence est le meme Dans toutes les langues, le meme Des mots qui l'on ne seme pas Partout ou le silence est roi
Durant trois minutes ou toute un vie Quand on ne me dit pas, on m'a rien dit Ne comptons pas sur l'extra-lucide Pour lire dans nos pensees invisibles
Si l'œil est nu L'oreille pointue Vient se pencher Sur la bouche de l'etre adore
Le silence est le meme Dans toutes les langues, le meme Des mots qui l'on ne seme pas Partout ou le silence est roi
De marbre rose quand il est en veine Si le silence s'impose, c'est careme Plus d'idees noires mais plus d'ideaux Sur tous nos espoirs, on fait rideau
Muets de stupeur Muets par humeur N'ayons pas peur Des mots, ne les machons pas trop
Les mots, ca s'avale tout de go Comme des huitres ou bien des escargots Ca se gobe, ca transite, ca se perd C'est des pensees, ca se digere
Le silence est le meme Dans toutes les langues, le meme Des mots qui l'on ne seme pas Partout ou le silence est roi
Songez, si le hasard S´etait mis a table pour ma fete Et mis en tete, tard De m´imaginer fourchette En pique-assiette Aurais-je ma chanson ? Pour ces piquants Rudimentairement alimentaires Ne distillant Peu de parfum litteraire Alors, aurais-je droit ma chanson ?
{Refrain:} Aerien, je suis aerien Les aleas de la vie me menent a... Aerien, je suis aerien Je vole et toi Tu n´es la que pour mon bien
Songez, si le sort Avait decide, sans mon accord De me mettre a mal Changeant les cellules de mon corps En eau minerale Aurais-je ma chanson ? Si tranparent Bien dose dans du verre en cristal Calme apparent Sans maree, ni sel, ni mistral Aurais-je droit a ma chanson ?
Et si le destin Voulait m´eviter d´autres deboires Il me laisserait un coin Ou coucher notre histoire Sur l'air, de rien, d´une chanson
{au Refrain}
Aerien, je suis aerien Je vole et toi Tu n´es la que pour mon bien
Je me mefie de l'eau qui dort Je me defie des bras qui, forts, M'en tombent Langoureusement Amoureuse De tous ces cas d'especes Je me suis bien amusee De tout, j'ai bien profite De bal en mal Si souvent emballee Pour un rien, je sais…
Je ne sais ou je veux bien aller Si je suis mouton dans un pre carre Ou bien megot sous un talon d'acier Je ne sais, je ne sais qui fumer
Je me suis mefiee des amnesiques Dans le cirque des annees "Tabouret" Lumieres en poursuite Sur les coeurs Les flonflons amateurs Je me suis bien amusee De tout ai-je bien profite ? D'envies Souvent si naives En pre sentiments Qui maintenant, me suivent…
Je ne sais ou je veux bien aller Si je suis mouton dans un pre carre Ou bien megot sous un talon d'acier Je ne sais, je ne sais qui fumer
Son cabas sous le bras, en pleine nonchalance Un peintre en batiment de moyenne importance En ce jour de conge, traine son anatomie Un sourrie iradiant sa tete de lundi
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Une fois bien maquille sa tete de mardi L'ovreuse de cinema ressasse les images Qui se sont projetees dessus son blanc corsage Esperant, pour demain, du neuf, de l'inedit
Aujourd'hui Mercredi, demain Jeudi, c'est bath! Tous les gens que je croise ont la tete adequate Tetes blondes, tetes brunes si bien galvanisees Jour apres jour, au rythme des caledrivers
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Ce matin je velt ma tete des dimanches Journees emblematiques ou la semaine calanche Dans une iterminable fin d'apres midi J'attends impatiment ma tete de lundi
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu