Disc 1 | ||||||
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1. |
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J'ai déposé mes armes
a l'entrée de ton coeur sans combat et j'ai suivi les charmes lentement en douceur quelque part là-bas au milieu de tes rêves au creux de ton sommeil dans tes nuits un jour nouveau se lève à nul autre pareil mais tu sais depuis.... Chorus: Tout l'or des hommes ne vaut plus rien... si tu es loin de moi Tout l'amour du monde ne me fait rien alors surtout ne change pas. C'est un nouveau voyage le destin le hasard peu m'importe qui m'a montré le passage qui menait jusqu'à toi mais tu sais depuis.... Chorus: Tout l'or des hommes ne vaut plus rien... si tu es loin de moi Tout l'amour du monde ne me fait rien alors surtout ne change pas... Tout l'or des hommes ne vaut plus rien... si tu es loin de moi Tout l'amour du monde ne me fait rien alors surtout ne change pas. (Tout l'or des hommes) ne vaut plus rien... si tu es loin de moi Tout l'amour du monde ne me fait rien surtout ne change pas...no! surtout ne change pas... (Tout l'or des hommes) Tout l'or des hommes Tout l'amour du monde ne me fait rien alors surtout ne change pas... (Tout l'or des hommes) Tout l'or des hommes (Tout l'amour du monde) Tout l'amour du monde alors surtout ne change pas. " |
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2. |
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Apprends-moi
Apprends-moi Les petites choses Des couleurs que tu portes,au noir de ton caf챕 Apprends-moi Ce qui te repose Tes envies et tes fautes avou챕es Apprends-moi Avec ton sourire Tes manies,tes causes Tes phobies,tes secrets Apprends-moi Ce que tu d챕sires En douces phrases et baisers sucr챕s Et dans mes r챗ves J'ai si souvent pri챕, O첫 tu voudras,o첫 tu pourras,o첫 tu iras, j'irai Lis sur mes l챔vres Approche un peu plus pr챔s, Que tu m'apprennes toi,sans jamais oublier Apprends-moi Rien que ce qui compte Ces rires fous qu'on ose Puisque le monde est sourd Apprends-moi Apprends-moi Que rien d'autre ne compte Que ces serments fid챔les D'un jour Apprends-moi Le temps des d챕lices Ces puits d'ivresse neuve Ces actes sans recours Apprends-moi Apprends-moi L'art do sacrifice Qu'on est plus vivant Quand on meurt d'amour Et dans mes r챗ves J'ai si souvent pri챕 O첫 tu voudras,o첫 tu pourras,o첫 tu iras,j'irai Lis sur mes l챔vres Approche un peu plus pr챔s Que je m'apprenne dans toi,jusqu'au dernier secret Apprends-moi tes sourires Apprends-moi tes d챕sirs Apprends-moi Apprends-moi tes phobies Apprends-moi tes manies Apprends-moi Apprends-moi tes secrets Et dans mes r챗ves J'ai si souvent pri챕 O첫 tu voudras,o첫 tu pourras,o첫 tu iras,j'irai Lis sur mes l챔vres Approche un peu plus pr챔s, Que tu m'apprennes toi,sans jamais oublier Et dans mes r챗ves J'ai si souvent pri챕, O첫 tu voudras,o첫 tu pourras,o첫 tu iras,j'irai Lis sur mes l챔vres Approche un peu plus pr챔s Que je m'apprennes dans toi,jusqu'au dernier secret Apprends-moi tes sourires Apprends-moi tes d챕sirs Apprends-moi Apprends-moi tes phobies Apprends-moi tes manies Apprends-moi Apprends-moi tes secrets |
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3. |
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Et j'ai suivi le vol d'un ange
Il m'a emmené jusqu'à toi Un battement de cil Et tu es là La nuit plus rien ne nous dérange La raison est un fil de soie On la sent plus fragile C'est bien comme ça Mais dis-moi... Toi, est-ce que tu rêves encore ? Toi, est-ce que tu vas toujours caresser le ciel ? Toi, est-ce que tu cherches encore ? Toi, est-ce que tu veux toujours effleurer le soleil ? Et j'ai suivi le vol d'un ange Comme un voyage au fond de moi Juste en fermant les yeux Et tu es là La nuit à ce pouvoir étrange De nous faire aller jusque là Où même les oiseaux N'arrivent pas Toi, est-ce que tu rêves encore ? Toi, est-ce que tu vas toujours caresser le ciel ? Toi, est-ce que tu cherches encore ? Toi, est-ce que tu veux toujours effleurer le soleil ? On frôlait l'océan Est-ce que tu te rappelles ? On partait droit devant On rêvait De voler là-bas A l'autre bout du ciel, à l'autre bout du ciel Toi, est-ce que tu rêves encore ? Toi, est-ce que tu vas toujours caresser le ciel ? Toi, est-ce que tu cherches encore ? Toi, est-ce que tu veux toujours effleurer le soleil ? Et j'ai suivi le vol d'un ange Il m'a emmené jusqu'à toi Un battement de cil Et tu es là " |
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4. |
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Tu charmes, tu blesses mais tu ne mens jamais
Tu choisis seul, bon ou mauvais Qui décide de ce qui se fait ? Tu es comme tu es, ça me plaît Tu n'as pas d'heure d'hiver, d'été D'ailleurs ta montre tu l'as donnée Mais quand je vais mal tu le sais Tu trouves deux, trois mots et ça y est Des comme toi, c'est pas souvent Écoute, c'est important... Ne bouge rien ne bouge pas On en fait pas beaucoup comme toi Ne touche à rien c'est bien comme ça Ne bouge rien ne bouge pas Tu aimes fort et puis tu disparais T'as bien trop d'amis pour rester Tu ne sais même pas t'excuser Juste te faire pardonner Tu oublies le mal qu'on te fait Tu veux toujours tout partager Tu ris, tu pleures sans te cacher La vie s'écoule sans t'abîmer Des gens comme ça, y'en n'a pas tant Écoute, c'est important.... Ne bouge rien ne bouge pas On en fait pas beaucoup comme toi Ne touche à rien c'est bien comme ça Ne bouge rien ne bouge pas Bis On va te dire tourne la page Ne bouge rien ne bouge pas Il faut grandir, devenir sage Ne bouge rien ne bouge pas Tous ces mots qui nous mettent en cage Ne bouge rien ne bouge pas Pour être libre il n'y a pas d'âge Ne bouge rien en bouge pas Ecoute, c'est important... Ne bouge rien ne bouge pas On en fait pas beaucoup comme toi Ne touche à rien c'est bien comme ça Ne bouge rien ne bouge pas " |
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5. |
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Je connais bien ce regard,
ces yeux qui se ferment par instant Ces pensées qui nous séprent, qu'on ne partage même en rêvant Fixés droit vers l'océan, belle muette, course d'enfants Ou de vies que tu caches à l'abri dans ton silence que brise ma voix Je le sens J'aimerai tant savoir souffler comme le vent sur ton doux visage Faire partir le noir disparaître le temps casser les nuages Parler même tout bas juste pour toi et moi Des petits riens, mais là-bas au loin... Tu nages Tu nages sans t'arrêter dans les eaux profondes quelque part Tu nages pour ne pas couler ici bas, c'est déjà le soir Et moi j'attends sur le pont 5 impuissante et seule si souvent Moi qui n'aime que ta voix petit point sur l'horizon J'ai peur qu'un jour tu ne reviennes pas J'aimerai tant savoir souffler comme le vent sur ton beau visage Faire se lever l'espoir, les richesses d'avant, nos plus belles pages Parler même tout bas, jute pour toi et moi Tu te souviens mais là-bas, au loin... Tu nages... Tu nages... Tu nages... " |
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6. |
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Ici l'automne chasse un été de plus
La 4L est morte on a repeint la rue Elise a deux dents, Petit-Jean est grand et fort J'apprends la guitare, j'en suis à trois accords J'ai trouvé des girolles au marché ce matin J'aimerais vivre à Rome, oh j'aimerais bien J'ai planté des tulipes, elles tardent à éclore C'est tout je crois, ah oui, je t'aime encore Mais où es-tu ? Aussi loin sans même une adresse Et que deviens-tu ? L'espoir est ma seule caresse J'ai coupé mes cheveux, " enfin " dirais-tu Ça m'a fait bizarre, mais j'ai survécu On m'invite, on me désire et je danse et je sors Et quand je danse, je t'aime encore Mais où es-tu ? Aussi loin sans même une adresse Et que deviens-tu ? L'attente est ma seule caresse Et je t'aime encore Comme dans les chansons banales Et ça me dévore Et tout le reste m'est égal De plus en plus fort A chaque souffle à chaque pas Et je t'aime encore Et toi tu ne m'entends pas " |
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7. |
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Si tu me vois tourner la tete
Regarder trop par la fenetre Oh, retiens-moi Si tu me surprends l'ame grise A preparer qu'une seule valise Oh, retiens-moi Retiens-moi Retiens mes pas Fais marcher ta sirene d'amour Ouvre tes filets de velours Retiens-moi, love-moi Au creux de tes promesses encore Tout pres contre ton corps Si tu vois dans mes yeux des armes Tirer sur le signal des larmes Oh, retiens-moi Si je me fais trop dure et trop fiere Si je prends l'ete pour l'hiver Oh, retiens-moi Retiens-moi Empeche-moi De preferer la nuit au jour De dire sans Retiens-moi Emporte-moi Meme sans appel au secours Retiens-moi, see'est ton tour Oh, quand tout sera fragile Quand j'aurai l'air d'une proie facile S'il te plait, retiens-moi Donne-moi La paix de tes errances La chaleur de ta chance et l'oubli Dans le creux de tes reins Donne-moi Ce que j'ai perdu un jour Dans ces routes et ces detours A chercher le chemin De tes mains De tes mains Retiens-moi |
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8. |
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Je lui dirai qu'il est de ce pays
Où son grand-père était bûcheron Que dans son sang l'Orient coule aussi Que les mélanges font de beaux enfants Qu'il est fort et bien vivant Je lui dirai qu'il est né de l'amour Que nous l'attendions passionnément Que chaque nuit s'efface au nouveau jour Qu'il sera grand mais qu'il a bien le temps Oh dieu qu'il a bien le temps Et que la vie l'appelle que le monde l'attend Que la terre est si belle et le ciel est si grand Qu'il est beau, que je l'aime, qu'il est ma vie, ma joie Qu'il est un parmi des millions d'humains Mais bien l'unique pour moi Je lui dirai qu'ici bas tout s'apprend Le bien le mal et même le bonheur Qu'il ne perde jamais ses yeux d'enfant Devant trop de malheurs et de laideur Qu'il regarde avec son coeur Je lui dirai d'être sage et prudent D'aller frôler les glaces et les feux Qu'il goûte à tout mais sans jamais dépendre Que trop peut être pire que trop peu Oh bien pire que trop peu Et que la vie l'appelle que le monde l'attend Que la terre est si belle et le ciel est si grand Qu'il est beau, que je l'aime, qu'il est ma vie, ma joie Qu'il est un parmi des millions d'humains Mais bien l'unique pour moi Je lui dirai les chansons les poèmes Qu'il n'y a pas d'amour sans histoire Que le bonheur est un grain que l'on sème Qu'amour et santé ne s'achètent pas Et qu'on n'est riche que de ça Je lui dirai qu'un jour une autre femme Viendra l'aimer et qu'il l'aimera Que j'en mourrai de bonheur et de larmes Mais que nous serons là pas après pas Que c'est la vie et sa loi Et que la vie l'appelle que le monde l'attend Que la terre est si belle et le ciel est si grand Qu'il est beau, que je l'aime, qu'il est ma vie, ma joie Qu'il est un parmi des millions d'humains Mais bien l'unique pour moi Qu'il est beau que je l'aime Qu'au-delà du mystère Il est ma plus belle raison de vivre Ma réponse à l'infini " |
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9. |
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Il a le regard économe
Il a le verbe rare, ça me plaît Il aime le chant des colombes et l'odeur du café Et ces petites choses qu'on fait sans y penser C'est mon homme, mon drapeau Mon homme, celui qu'il me faut Je frissonne je prends l'eau C'est mon homme, mon abri, mon lit, mon héros Il ne saurait pas comment briller Ou comme un phare banal, oublié Dans sa mer ordinaire Il brise les vagues sans voir Ces milliers de lumières Qu'il m'offre sans le vouloir C'est mon homme, mon drapeau Mon homme, celui qu'il me faut Je frissonne je prends l'eau C'est mon homme, mon feu, mon repos C'est mon homme, mon ami Qui pardonne, celui qu'on choisit Je tâtonne, je faillis C'est mon homme qui fait ce qu'il dit C'est mon homme je l'admire Mon ozone, l'air que je respire Mon opium, mon jour Oh mon homme, mon toit, mon chemin, mon amour " |
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10. |
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Aux promesses éternelles
Aux jours de grand soleil Aux instants d'or et de lumière Aux silences des âmes Aux non-dits qui s'enflamment Aux feux complices des lunes claires Tant que l'eau s'endort aux yeux des reines Comme au lit des rivières Tant que nos mains se souviennent Rien n'est vraiment fini Les vents du large parfois ramènent Le marin qui se perd Tant que ta voix suit la mienne Rien n'est vraiment fini Vraiment Aux parfums irréels Aux nuits d'ambre et de miel Aux douces magies de la peau A nos chemins de vie A tout ce qui nous lie A ce passé qui nous tient chaud Tant que l'eau s'endort aux yeux des reines Comme au lit des rivières Tant que nos mains se souviennent Rien n'est vraiment fini Les vents du large parfois ramènent Le marin qui se perd Tant que ta voix suit la mienne Rien n'est vraiment fini Vraiment Si les vents du large te ramènent Rien n'est vraiment fini Tant que l'eau s'endort aux yeux des reines Comme au lit des rivières Tant que nos mains se souviennent Les vents du large parfois ramènent Le marin qui se perd Tant que ta voix suit la mienne Rien n'est vraiment fini Vraiment Fini Rien n'est vraiment fini " |
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11. |
| 4:09 | ||||
Et on a éteint notre lumière
Celle qui nous guidait encore hier Alors Je voudrais te dire Qu'il peut rester d'un amour si grand Une étincelle qui défie le temps Et puis Je voudrais te dire Chorus : Que chaque jour sans toi Me fait plus mal Que toutes les blessures Que chaque jour sans toi N'est pas normal C'est contre nature Que chaque jour sans toi Me fait plus mal Que toutes les injures Que chaque jour sans toi Sans rien de toi C'est contre nature Même si entre nous il y a eu des guerres On parlait d'amour encore hier Alors Je voudrais te dire Que malgré la pluie l'hiver et les vents Je n'oublierai pas nos soleils d'avant Et puis Je voudrais te dire Que chaque jour sans toi Me fait plus mal Que toutes les blessures Que chaque jour sans toi N'est pas normal C'est contre nature Que chaque jour sans toi Me fait plus mal Que toutes les injures Que chaque jour sans toi Sans rien de toi C'est contre nature C'est contre nature Que chaque jour Sans toi Chaque jour Sans toi C'est contre nature Que chaque jour sans toi Me fait plus mal Que toutes les blessures Que chaque jour sans toi N'est pas normal C'est contre nature Que chaque jour sans toi Me fait plus mal Que toutes les injures Que chaque jour sans toi Sans rien de toi C'est contre nature " |
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12. |
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Des milliers de baisers, des milliers de millier
Un à un de mes lèvres à tes lèvres déposés Des millions de secondes, instantanés de bonheur Effacés disparus en un battement de coeur Des milliers de mots doux sur des pare-brises envolés Numéros composés sans jamais oser parler Bouts d'aveux déchirés dans des corbeilles à papier Les défroisser les recoller, lire et les garder Des milliers de caresses au millimètre carré Des milliers de cris de souffles à nos bouches échappés Pans de ciels effleurés, touchés, sommeils emmêlés Rayés comme si tout ça n'avait jamais été Je voudrais tout ramasser dans des grands sacs poubelle Les paroles oubliées des plus banales aux plus belles Qu'aucun ne se perde de ces instants si précieux Ces phrases ont été dites, ces moments ont eu lieu Tout enregistrer ajouter le son les odeurs ADN, empreintes, mais que jamais rien ne meure Ces millions de films de nous, mais pas du cinéma Toutes les scènes perdues que l'on ne jouait pas On ouvrirait tous les jours où nous serions moins forts Tous ces embryons d'amour, toutes ces aurores Sincères, démasqués, fragiles et vrais de candeur Nous revoir ainsi nous rendrait peut-être meilleurs Des milliers de baisers, des milliers de millier Un à un de nos lèvres sur des peaux déposées Des milliers de pensées, de moments d'éternité De regards échangés dans des gares échangés Des milliers de baisers en un clin d'oeil oubliés " |